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Fred Forest - Retrospective
Art sociologique - Esthétique de la communication
Exposition Art génératif - Novembre 2000
Exposition Biennale 3000 - Sao Paulo - 2006

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29/01/2011

SUITE DE LA POLEMIQUE AVEC LE CENTRE POMPIDOU APRES LA PUBLICATION DU MONDE

Photo : FRED FOREST DANS LES SALLES DE L'EXPOSITION " VIDES. UNE RETROSPECTIVE "











Lette ouverte N° 2
-Destinataire :

Monsieur Alain Seban Président du Centre Georges Pompidou

Le 25 février 2010, j’ai produit une performance sauvage et improvisée à l’occasion du symposium organisé pour l’exposition “ Vides Une rétrospective “ dans le “petite salle “ du Centre Pompidou.

Etaient présents à cette action annoncée par moi-même comme performance : deux conservateurs du MNAM, Centre Georges Pompidou, Bernard Blistène et Laurent Lebon, et également sur à la tribune, Robert Barry, Françoise Bonardel, Bethan Huws, Roman Ondâk et les commissaires de l’exposition, John Armleder, Mathieu Copeland, , Gustav Metzger, Mai-Thu Perret et Clive Phillipot, ainsi qu’un très nombreux public entassé dans une salle comble.

Donc, autant de personnes pouvant témoigner oralement de l’existence de cette œuvre, qui s’est réalisée entre 20h45 à 21h00 sous leurs yeux et sous les applaudissement du public.

Je suis moi-même capable de la décrire, ici, mais je m’en garderai bien, afin de ne pas altérer à jamais son immaculée immatérialité, ce qui la dénaturerait et la priverait, subséquemment, de sa valeur commerciale. Ce qui est le cas de l’oeuvre “ This situation “ de Tino Sehgal, dont la valeur intrinsèque, liée aux exigences de l’artiste n’ayant pas été respectée, la valeur financière a été ruinée sur le champ par le reçu émis par la galerie procédant à la transaction. Le Centre Pompidou a acheté du vent comme le signal un commentateur de la presse ! En effet si même le reçu a été émis sous la forme numérique d’un e-mail, il a fait l’objet automatique d’un tirage papier sur imprimante pour les besoins du Centre Pompidou en matière d’archivage comptable... Il faudrait tout de même qu’on arrête de prendre les citoyens que nous sommes, et même les vrais amateurs d’art contemporain pour de parfaits imbéciles !


Pour en revenir à ma performance improvisée, ce jour là, devant qui de droit, je demande à la commission d’acquisition du MNAM d’en faire l’achat sous la garantie vigilante de ses deux conservateurs officiels présents sur place à ma performance, accompagnés de Roger Rotmann, responsable des débats au Centre Pompidou, qui officiait également lors de cet événement.

La galerie Marian Goodman ayant proposé à la vente l’œuvre “ This Situation “, pour un montant de 100.000 dollars,(Cent mille dollars). L’oeuvre a été achetée depuis par le MNAM (qui se refuse malgré son statut d’établissement public d’en communiquer le prix exact...) Compte tenu que mon œuvre, la bien nommée, “ This spéculation “, présente l’avantage d’être strictement de conservation orale, et sans aucune autres traces, je la propose à la commission d’achat du Centre Pompidou pour un prix supérieur d‘un dollar, soit, 100.001 dollars. (Cent mille et un dollars)

Le règlement se fera par chèque, directement au bénéficiaire, que je désigne comme étant, l’Association loi 1901, dite “ Les Restos du cœur “.

Cette transaction n’étant entachée d’aucun reçu, délivré par l’artiste ou un intermédiaire quelconque, et sa validité ayant était reconnue et entérinée de visu par les deux conservateurs présents du MNAM, l’œuvre, “This spéculation “, manifeste sa supériorité éthique et théorique de ce point de vue sur “This situation “, justifiant pleinement qu’elle soit proposée à un dollar de plus...

Nous balayons d’une pichenette l’argument d’Agnès Fierobe, Directrice de la Galerie Marian Goodman, qui poussée dans ses retranchements par le journaliste du Monde, finit par lui répondre, sans doute excédée : “ La facture est envoyé par mail, elle ne l’est jamais sous une forme écrite “. Nous plongeant en pleine confusion, rajoutant de la confusion à la confusions, qu’elle soit, volontaire ou involontaire, peu importe, comme si elle ignorait qu’un e-mail ne pouvait être rédigée, encore de nos jours, que sous une forme scripturale... Faisant une grossière erreur entre l’écriture et le mode de transport pour les besoins d’une cause perdue à l’avance, et celle aux abois de devoir justifier l’injustifiable.

Monsieur le Président je vous demande en conséquence de bien vouloir saisir votre commission d’acquisition pour l'oeuvre la bien nommée , “ This spéculation “ au prix et aux conditions que je propose et au profit du bénéficiaire que j’ai désigné.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, mes cordiales salutations

Fred Forest


22/01/2011

LE SYSTEME DE L'ART CONTEMPORAIN EMPETRE DANS SES PROPRES CONTRADICTIONS


22/01/2011
LE SYSTEME DE L'ART CONTEMPORAIN EMPETRE DANS SES PROPRES CONTRADICTIONS


OU ET QUAND UNE PHOTO REVELE LA SUPERCHERIE !

Ci-dessous une série de liens de publications sur la polémique initiée par Fred Forest par sa lettre ouverte au Président du Centre Georges Pompidou

La photo, ci jointe, qui est la preuve par 9 de la soit disant “ immatérialité “ sur laquelle se fonde la soit disant “ valeur “ symbolique et marchande des œuvres de Tino Sehgal (dont la dernière “ The situation “ acquise par le Centre Pompidou (dont personne ne peut connaître le prix...) est une escroquerie intellectuelle qui participe à une manipulation du marché.

Cette photo fournie par la Galerie de l’artiste (et avec quel cynisme sinon avec une incroyable inconscience...) qui prétendait, par ailleurs, que les exigences de l’artiste interdisaient, dans tous les cas, que tout document matériel soit réalisé de ses œuvres : photos, vidéos, ni même de reçu légal lors de sa vente...Révélant, elle-même la contradiction d'une telle position, balançant entre une affirmation et son contraire. Fondant sur un mensonge grossier la valeur supposée d'une oeuvre et d'un artiste. créditée par l'institution Centre Georges Pompidou qui y apporte sa caution par son acquisition.

Mais dans quel monde vivons-nous ?

On croirait rêver. On croirait rêver de tant d’ingénuité de la part des conservateurs français qui ont défendu cet achat, bec et ongles, devant la commission d’acquisition, qui apparaissent plus, dans cette malheureuse mésaventure qui leur arrive, comme des Trissotins que comme des individus malhonnêtes ou incompétents.

Nous n’aurons pas la cruauté d’en rajouter un brin de plus, sinon en évoquant timidement à leur sujet le fameux conte d’Andersen, où c’est un enfant qui est là, forte heureusement, devant la cour des courtisans tous réunis comme un seul homme, pour crier haut et fort ce qu’il voit : “ Mais le roi est nu “ !

Qu’en est-il des déclarations publiques du Directeur du développement culturel du Centre Pompidou vantant les mérites de l’artiste Tino Sehgal , nous confiant qu’il était allé jusqu’à se déplacer à Berlin pour le rencontrer (car l’artiste refuse de se déplacer) pour jouer le rôle de bêta testeur avant l’achat qui fait aujourd’hui scandale ? Nos conservateurs nationaux vivent dans la peur chronique de se voir reprocher dans un futur proche d’avoir défailli, dans la responsabilité qui leur incombe d’enrichir les collections, notamment en ratant par exemple l’affaire du siècle, l’artiste Tino Sehgal ! C’est pourquoi, ils achètent tout ce qui est « tendance », c’est à dire tout et n’importe quoi. Les chinois, les indiens et les artistes du moyen orient bénéficiant de cette nouvelle vogue. Des services spécialisés de Beaubourg sont chargés de les repérer pour les prochaines acquisitions. N’ayant apparemment aucun goût personnel, ils se contentent précipitamment de suivre (souvent avec un temps de retard...) le MoMA ou le Guggenheim qui imposent leurs artistes, rigoureusement sélectionnés sur listes d’attente que propose le marché américain.
Si c’étaient encore eux les gens de Beaubourg qui créaient les modes ? Avec des artistes français de leur propre cru. Non ! ils ne visitent même plus leurs ateliers, comme le faisait récemment remarquer cruellement au responsable de la DAP, (passé, depuis, armes et bagages, au grand projet du Palais Tokyo…) l’artiste Ernest Pignon Ernest.
Et qui citait, précipitamment, pour se dédouaner, le nom d’un artiste qu’il aurait visité. Manque de pot, lui faisait remarquer Ernest Pignon Ernest, celui-ci était mort et enterré depuis plusieurs années...(la scène se passait sous les rires à peine étouffés du public lors d’un colloque organisé par la revue “ Art Absolument “ au Théâtre du Rond-Point à Paris.)
Toujours est-il qu’avec le pavé dans la mare qu’a lancé Fred Forest avec sa lettre ouverte au Président de Beaubourg, surfant sur des critiques du même ordre formulées dans “ Libé “ la semaine précédente par Nathalie Heinich, sociologue au CNRS (qui fait autorité en matière d’art contemporain) l’idée commence à prendre forme d’une législation qui contrôlerait d’une façon plus ferme de tels abus.

DU MONDE A LIBERATION LA POLEMIQUE BAT SON PLEIN DANS LES MEDIAS FRANCAIS (voir les liens ci-dessous)

http://fr.artinfo.com/une-dispute-%C3%A0-trois-sur-une-%C5%93uvre-%C3%A9ph%C3%A9m%C3%A8re-de-tino-sehgal-au-pompidou

http://www.viadeo.com/hub/forums/detaildiscussion/?containerId=00211o9ljk3ybyp9&action=messageDetail&messageId=0021ofr7me446t5x&forumId=002z9ekgvwfm9s1


http://www.liberation.fr/culture/01012312138-l-etat-face-au-marche-de-l-art-cinq-questions-au-ministre

http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/01/15/un-achat-du-centre-pompidou-relance-le-debat-sur-le-secret-des-transactions_1466075_3246.html

http://www.bakchich.info/Art-contemporain-Pom-pom-pi-dou,12820.html

http://www.webnetmuseum.org/php/fr/php-news_fr/show_newsfr.php


18/01/2011

SUITE DE LA POLEMIQUE AVEC LE CENTRE POMPIDOU APRES LA PUBLICATION DU MONDE

La suite...

Dans le cadre de la polémique ouverte par le journal le Monde avec le Centre Pompidou après la lettre ouverte de Fred Forest à son Président
http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/01/15/un-achat-du-centre-pompidou-relance-le-debat-sur-le-secret-des-transactions_1466075_3246.html

Quelques remarques et commentaires au sujet des réponses faites au journal le Monde par Alfred Pacquement,, Directeur du MNAM, à la suite de la lettre ouverte de Fred Forest.
(Alfred Pacquement, dont il esquisse d’ailleurs le portrait dans son dernier livre,« Une vie en 100 portraits » (éditions incognito) , tout ça pour dire s’ils se connaissent bien tous les deux! et que surtout ça fasse un peu de pub au livre…)


ALFRED PACQUEMENT : il y avait présents, lors de l’acquisition, l’artiste, un conservateur du MNAM, un représentant de la galerie Marian Goodman et moi-même. L’artiste a énoncé les règles qui régissent l’œuvre pour que nous les ayons en mémoire, et que nous puissions les consigner dans un dossier conservé au Musée.

COMMENTAIRE DE FRED FOREST : Ce dossier qui fait partie intrinsèquement de l’œuvre, si j’entends bien, est-il donc consultable aux heures d’ouverture du MNAM pour le public ? Un rendez-vous peut-il être pris par un amateur d’art qui paye régulièrement ses impôts et qui a un casier judiciaire vierge avec le conservateur présent à la vente, ou à Alfred Pacquement, lui-même, afin que lui soit transmis, par voie orale, la quintessence de l’œuvre acquise qu’ils sont seuls, in fine, à détenir?

En cas d’indisponibilité d’Alfred Pacquement quel est le nom de ce conservateur cité anonymement dans l’article ? Car pour prendre un rendez-vous avec quelqu’un en général, ne serait-ce qu’au Centre Pompidou, ça tombe sous le sens, il faut au moins connaître déjà son nom ! Connaître son nom pour avoir quelque chance de voir sa demande satisfaite par la standardiste de service ce jour là, n’est-ce pas ?

ALFRED PACQUEMENT : Nous possédons une facture de la galerie Goodman, et nous n’avons pas payé en liquide. Nous savons suivi nos règles habituelles.


COMMENTAIRE DE FRED FOREST :Donc, Alfred Pacquement reconnaît avoir rédigé un chèque au bénéfice de la Galerie Goodman (Galerie dont on connaît depuis plusieurs années le rôle, (pas très efficace d’ailleurs et c’est peu dire…), joué pour introduire les artistes français sur le marché américain ? Cela, en échange, comme renvoi d’ascenseur des achats, opérés en retour, que lui feraient les Institutions Françaises ? Cet achat de Tino Sehgal pourrait-il s’inscrire dans la logique de cet accord implicite et supposé ? Si c’est la cas, il faut seulement espérer que la galerie américaine ne soit pas, non plus, par la même occasion, et en boucle fermée, le meilleur vendeur à l’Etat Français des artistes… Français ? C’est à vérifier, pour qui en a le droit légal, mais ce ne sont là peut-être que des rumeurs fantaisistes, jusqu’à preuve du contraire. Mais vous avouerez, en tout bien tout honneur, que la situation ne manquerait pas de piquant. Les américains revendant aux musées français, comme dans un bon tour de passe passe, des artistes contemporains Français, comme Christian Boltanski ou encore Pierre Huyghe, sous prétexte d’assurer leur promotion aux Etats Unis…

Sur l’accusation que formule Fred Forest au Centre Pomidou de dénaturer l’œuvre de Tino Sehgal en ne respectant pas à la lettre les exigences de l’artiste sur lesquelles se fondent, en vérité, sa valeur symbolique, et subséquemment sa valeur marchande, ce qui entacherait l’œuvre d’un soupçon d’escroquerie intellectuelle et morale, le Directeur du MNAM botte en touche et retourne l’accusation à l’artiste sans état d’âme.

PACQUEMENT: Il semble en fait que c’est Tino Sehgal lui-même qui a changé d’attitude au fur et à mesure que sa cote grimpait, sans doute fonctionnait-il différemment quand il n’avait pas de galerie ?

Le monde ajoute en commentaire il y a six ou sept ans, quand les prix restaient modestes, sous les 10.000 euros sans doute était-il plus « puriste » dans ses transactions. Mais aujourd’hui ses œuvres valent de 50.000 à 100.000 euros, dit-on, à la galerie Goodman.
Et Agnes Fierobe de le Galerie Marian Goodman, qui ni connaît sans doute rien au numérique, d’ajouter pour dédouaner l’artiste : « La facture est envoyé par mail, elle n’est jamais sous forme de trace écrite » Que diable, sous qu’elle forme autre, qu’écrite (et chiffrée..) peut-elle donc être transmise, pour qu’elle soit interprétable par le premier commissaire de la cour aux comptes ? That is the question ? ? ?


COMMENTAIRE DE FRED FOREST :Pourquoi donc ouvertement le Directeur du MNAM fait ainsi le jeu du marché ?

a) D’une part du fait que dans le système de l’art contemporain, le jeu de connivence qui lie les Institutions au marché est patent. Les institutions valident la marchandise de ce dernier, et cautionnent, par conséquent, des valeurs artificiellement imposées, par des opérateurs financiers qui disposent à travers les grands collectionneurs de tous les moyens pour les imposer : moyens de production, moyens de diffusion, moyens de monstration, moyens de promotion, réseau de vente à travers des galeries, dont ils sont souvent les actionnaires dominants, et de réseaux de vente, dont ils sont les propriétaires. (suivez mon regard…)

b) Parce que dans le rapport de force qui s’est établi le privé domine totalement des conservateurs timorés, qui se sont toujours alignés sur leur marché par leur manque de détermination, leur manque d’imagination, leur manque d’esprit d’entreprise, leur manque d’engagement pour des valeurs auxquelles ils devraient croire en France. N’étant en fait que des suiveurs, ne sachant pas défendre leurs propres artistes.

c) Enfin à cause de leur manque de curiosité, leur paresse naturelle, qui les a conduit à négliger les talents qu’ils avaient sous la main, souvent obligés d’aller querir leur reconnaissance à l’étranger.

Le journal le Monde ajoute en commentaire en parlant de l’artiste : il y a six ou sept ans, quand les prix restaient modestes, sous les 10.000 euros sans doute était-il plus « puriste » dans ses transactions. Mais aujourd’hui ses œuvres valent de 50.000 à 100.000 euros, dit-on, à la galerie Goodman.

Et Agnes Fierobe de le Galerie Marian Goodman, qui ni connaît sans doute rien au numérique, d’ajouter pour dédouaner l’artiste : « La facture est envoyé par mail, elle n’est jamais sous forme de trace écrite »

Que diable, sous qu’elle forme autre, qu’écrite (et chiffrée..) peut-elle donc être transmise, pour qu’elle soit interprétable… par le premier commissaire venu de la cour aux comptes ?
Ce qui me semblerait, non innocemment de savoir maintenant, sans faire de procès d’intention à quiconque, c’est pourquoi et comment, cet artiste a eu l’opportunité d’être introduit au Guggenheim ? et, subséquemment, à la galerie Marian Goodman ?

Est-ce parce qu’il a eu, lui-même, le mérite de déposer, de ses propres mains, un dossier béton et bien léché, dans lequel il exposait d’une façon très claire son idée de génie? Une idée tournant littéralement la tête des conservateurs du Musée en question qui ne purent s’empêcher, après une réunion d’urgence de leur conseil d’administration de le convoquer pour produire sa performance sur le champ ? Ou est-ce de façon plus probable et prosaïque que cette idée (qui n’a rien d’inédit puisqu’elle été déjà réalisée 36 années auparavant par un obscur artiste français) est arrivée à un moment particulier de grâce, soutenu par un grand mécène du dit Musée, spéculateur à ses heures, à moins que se soit par sa femme, ou la femme de son voisin, avec qui il entretenait à l’époque des relations sado masochistes extra conjugales, ou alors plus simplement par sa concierge qui avait son oreille ? Pour faire comprendre aux membres du conseil d’administration que cet artiste était le petit génie du siècle ?
On ne le saura jamais.

Pour en revenir à Alfred Pacquement pour terminer reconnaissons, si nous pouvons l’accuser dans cette histoire de mille travers supposés ou imaginaires, de son honnêteté profonde, quand il confie au journal le Monde : « si nous avions dû payer en liquide et sans facture, nous aurions été embarrassés »
Qu’on se le dise !
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